En réaction à l'emploi allégué d'armes chimiques à Douma en avril 2018, les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni ont mené un raid aérien visant à punir le gouvernement syrien et à le dissuader de recommencer. Cet article revient sur les éléments factuels relatifs à l'emploi allégué d'armes chimiques et son attribution au gouvernement syrien, ainsi que sur le débat concernant la licéité des frappes aériennes au regard du droit international et la configuration de l'éventuelle responsabilité internationale en découlant.
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