Dans cet article, l'auteur soutient que les efforts visant à réglementer les activités des entreprises militaires et de sécurité privées ont toujours eu tendance à être « en retard d'une guerre » ou à réagir aux incidents passés dus à l'emploi de la force par une entité privée plutôt que de s'attaquer aux difficultés présentes. Selon l'auteur, les États devraient définir plus clairement l'orientation qu'ils souhaitent voir prendre par ce secteur plutôt que d'édicter des règles en réponse aux situations de crise, procédé qui a abouti à une réglementation inadaptée à deux domaines dans lesquels ces entreprises développent aujourd'hui leur activité : la lutte contre la piraterie d'une part, la fourniture et la protection de l'aide humanitaire d'autre part.
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