Si les avancées du droit humanitaire dit « de Genève » et du droit international dit de « La Haye », ne restèrent pas lettre morte pendant le Premier Conflit mondial, ce fut surtout en ce qui concerne les blessés et les prisonniers de guerre, mieux protégés que les civils par le droit conventionnel humanitaire encore balbutiant. Si l'idéal d'humanité a pu alors trouver réalisation à grande échelle grâce aux efforts du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et d'une myriade d'autres organisations charitables, confessionnelles ou non, cependant les entorses et le violations de ce droit ont été le fait de tous les belligérants dès lors qu'ils en eurent la possibilité. Les différentes populations occupées, sur les fronts ouest, est et dans les Balkans, en furent les cobayes et les victimes exemplaires.
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