Dans cet article, l'auteur évalue le rôle du droit international humanitaire dans la tactique des chefs, lors des insurrections des cinquantes dernières années en Amérique latine (notamment à Cuba, en El Salvador et au Nicaragua). Il arrive notamment à la conclusion que les règles humanitaires sont mieux respectées si leur utilité pour la lutte insurrectionnelle est comprise par tous. Le respect d'un minimum d'humanité dans les combats faciliterait également le passage à un ordre constitutionnel à la fin de la lutte. En se référant à l'exemple du Nicaragua, l'auteur souligne la place importante que le droit international humanitaire a trouvée dans les forces armées, elles-mêmes issues des forces insurrectionnelles.
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